vendredi, août 10, 2007

Le pouvoir de la queue au travail

Ce billet vise à montrer comment la queue en situation de pouvoir s'exprime parfois au bureau :

- des dossiers intéressants sont confiés non pas sur une base de mérite, mais sur la base du décolleté ou de la mini-jupe

- les rencontres dans le bureau se font plus longues que ne le justifie le dossier

- des femmes jusqu'alors habillées de façon professionnelle se mettent à porter décolletés, mini-jupes ou vêtements moulants

- des jeux de mots douteux se font entendre dans les réunions

- des regards qui en disent long s'accentuent de part et d'autre

- des rires complices fusent en réunion

- les seins bougent un peu plus vite que d'habitude

- le pantalon se serre et ondule à l'avant.

Vous l'aurez sans doute deviné, la queue désigne un gestionnaire aux pulsions sexuelles peu contrôlées.

9 commentaires:

Anonyme a dit...

Ah bon ! J'étais certain que tu parlais de pianos...

Bonne fin de semaine !

Annette a dit...

André,

Heureuse d'avoir de tes nouvelles. Je vois que tu as ouvert un nouveau blogue que je vais mettre dans mes liens et vais m'empresser de visiter :-)

Anonyme a dit...

Merci Annette,

Je te raconterai tout ça (départ précipité, absence totale de la blogosphère, etc.) un peu plus tard via un courriel, si j'arrive à retrouver tes cordonnées, cela va de soi !

Bon dimanche.

André.

Note:

Cet été, tu parles de queue, qu'en sera-t-il à l'automne ? Chose certaine, c'est que, plus que jamais, je meure d'envie de lire tes futures chroniques...

A. T.

Une femme libre a dit...

Annette, je n'en reviens pas de tout ce qui se passe dans votre milieu de travail! Que d'intrigues, de bouleversements, de jeux de pouvoir. Je n'ai rien connu de tel. Les écoles sont un tout autre milieu, avec peu de compétition entre enseignants,un endroit majoritairement féminin aussi, donc peu d'intrigues amoureuses. De temps en temps,on cherche un conseiller pédagogique ou un directeur d'école, la plupart des profs fuient, le poste demeure vacant un temps et puis, oh! surprise, c'est la déléguée syndicale tellement anti-patron qui se présente et en devient un. Typique.

Annette a dit...

Femme libre,

Je n'en reviens pas des fois non plus de ce qui se passe en affaires. J'aurais probablement préféré le milieu scolaire que vous décrivez.

Annette

Anonyme a dit...

Bah... Femme libre, pour voir les mêmes trucs que racontés par Annette, fallait aller travailler dans l'administration des commissions scolaires... alors là !! ouf ! ;o)

jetmiled a dit...

Étrange... je suis ingénieur, et dans mon domaine, la vie est totalement asexuée. C'est surtout un monde d'hommes et les femmes sont plutôt rares. Mais si il y en a, et qu'en plus elle soit belle, j'ai observé une certaine animosité de la part de mes collègues envers elle. C'est comme si ils lui en voulaient de leur faire penser à autre chose que le travail, travail, travail.

J'ai aussi vu des jeunes filles (nées après 1980) venir travailler sur des camps de travail en plein jungle amazonienne, camps peuplés d'hommes qui sont loin de leurs compagnes, en jeans moulant et t-shirts dévoilant le nombril.

Annette a dit...

Et ces jeunes filles dont vous parlez laissaient les ingénieurs de glace et sans aucune réaction?

Unknown a dit...

Non, personne ne restait de glace et si c'était le cas, je n'en parlerait pas non plus. Mais autant que je le sache, aucun homme n'a manqué de professionalisme face aux nombrils en question.